Type de texte | source |
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Titre | « Lecture du Traité de la peinture », Conférence lue à l’Académie royale de peinture et de sculpture le 6 juin 1750 |
Auteurs | Galloche, Louis |
Date de rédaction | 1750/06/06 |
Date de publication originale | |
Titre traduit | |
Auteurs de la traduction | |
Date de traduction | |
Date d'édition moderne ou de réédition | 2012 |
Editeur moderne | Lichtenstein, Jacqueline; Michel, Christian |
Date de reprint |
, p. 520
Que n’est-on pas capable dès l’entrée de regarder la peinture avec tout le respect qui est dû à l’excellence et la sublimité de ce bel art, dont on ne permettait l’exercice qu’à la noblesse dans l’Antiquité ? Il pourrait arriver de là que d’un nombre moins considérable d’étudiants, ornés d’un esprit nécessairement cultivé, il y en aurait plus qui réussiraient, ayant surtout l’avantage d’une naissance marquée que l’on n’examine pas assez.
Dans :Pamphile et la peinture comme art libéral(Lien)